Le handicap n’empêche pas le talent !

Né en mars 1853 au Pays-Bas. Le peintre néerlandais, Vincent VAN GOGH réalise son premier chef d’œuvre à la mort de son père en mars 1885, les Mangeurs de pommes de terre. Il travaille avec Gauguin, mais un jour Van Gogh est pris d’une crise de folie. Par la suite, il décide d’aller se faire soigner à l’asile St Rémy de Provence où il s’y bat contre lui-même en peignant.

Il aurait souffert de psychose, de troubles bipolaires, de saturnisme ou de l’épilepsie du lobe temporal, de la maladie de Ménière responsable de vertiges, de nausées et d’acouphènes qui auraient pu le pousser à se couper l’oreille pour soulager les bruits intolérables. Son état mental aurait été aggravé par la malnutrition, la consommation excessive d’absinthe et l’insomnie.

Il part à Arles en 1888, sa santé mentale se détériore. Le 29 juillet 1890, il meurt d’une blessure par balle qu’il se serait infligé. La légende dit qu’il se serait suicidé à l’endroit où il a peint « Champ de blé aux corbeaux ». Ce tableau prend des allures de testaments, trois chemins, VAN GOGH ne savait plus où aller. Ce qui est sûr, c’est que les problèmes mentaux de van Gogh ont influencé sa peinture et ses expérimentations picturales. D’autant qu’une thèse soutient qu’il aurait été soigné à la digitaline, une substance à même d’expliquer le virage jaune dans sa peinture vers la fin de sa vie.

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